Soral, le pédocriminel Matzneff et l’imam Rahhaoui sont sur un même bateau. Qui tombe à l’eau ? Vous aurez la réponse en visionnant cette vidéo émaillée de preuves accablantes sur la pédocriminalité assumée de G. Matzneff, que Grosal n’ignore pas et qu’il défend pourtant. Quatre extraits immondes et répugnants de son journal intime datant du début des années 80 qui vont soulever le cœur des plus insensibles et des plus durs. Il faut vraiment qu’il salisse tout ce qu’il touche, le gourou toxico. À présent, l’imam Abdelfattah Rahhaoui sait tout ce qu’il y a à savoir. Il ne pourra pas dire qu’il ne savait pas ; nous avons fait notre travail d’information et de lanceur d’alerte. Connaissant l’envergure du personnage, je ne puis imaginer un seul instant que Cheikh Rahhaoui — certainement abusé — persiste dans sa démarche après qu’il ait pris connaissance de toutes ces précisions. J’estime que ma démarche — à mon sens, une œuvre de salubrité publique — vise surtout à ouvrir les yeux à un des rares imams de France à bénéficier d’une crédibilité et d’une certaine aura et qui n’est pas nécessairement au courant des travers des uns et des autres dans le sérail de la pseudo dissidence. Il serait dommageable que tous ses efforts partent en fumée en côtoyant cette canaille. Rappelons également la proximité, voire l’amitié complice entretenue entre le Matzneff et Alain de Benoist, le païen dissident anti-conspirationniste à 2 zlotys. Le conservateur de droite n’est rien d’autre qu’un thuriféraire de pédocriminels que je n’arrive pas à différencier d’un P. Bergé ou un J. Lang. Ce sont les mêmes dégénérés que l’on est censé combattre et que l’imam Rahhaoui a courageusement combattus sur la question du Gender.
Dans tous les cas, si l’imam Rahhaoui persiste (qu’à Dieu ne Plaise) dans sa démarche, c’est bien lui qui tombera à l’eau, car le gourou toxico n’a plus rien à perdre. Étant incapable d’éprouver la moindre émotion, il ne rougit pas et n’a aucune idée de ce que peut être le sentiment de honte ; la messe noire est dite.